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YEZZA en interview Au Passage Au Artistes

YEZZA a 25 ans, Farah El Mouttaqi de son vrai nom  est une jeune femme  indépendante et accomplie.
Cette artiste interprète d’origine marocaine et algérienne a un tempérament de feu. Depuis sa naissance, le destin de Yezza est lié à la
musique : ses parents vivent en banlieue parisienne dans le 94 mais elle née  à Angers après que sa mère ait assisté à un showcase de Cheb Mami.
L’histoire peut paraître drôle mais Yezza l’est vraiment, sous son fort caractère elle cache une sensibilité et surtout l’art de manier le rire, la dérision et le charme pour décourager les plus téméraires à vouloir découvrir qui elle est vraiment

D’où vient ton nom YEZZA?
J’ai pas cherché très loin, j’ai tout simplement pris le nom de famille de ma mère, parce que c’est la personne la plus importante pour moi et que je trouvais que c’était le meilleur moyen de la remercier pour tout ce qu’elle avait fait pour moi !

As-tu su assez vite que tu voulais être chanteuse ?
J’ai toujours voulu être chanteuse. Mais je n’aurais jamais pensé avoir cette opportunité jusqu’à ce que je rencontre mes producteurs (Ikbal et Teetof) qui m’ont donné cette chance. Je les remercierais jamais assez d’ailleurs !

Ton premier single est disponible depuis le 20 Mars, as tu déjà reçu un retour de tes fans?
Oui et je suis plutôt fière du travail que l’on a accompli avec mon équipe. J’ai eu que des bons retours, des compliments ect… Je ne m’attendais pas à autant de bienveillance, ça m’a beaucoup touché!

« Gare du Nord »  évoque l’amour en fuite, c’est autobiographique ?
Ce n’est pas une histoire qui me concerne personnellement mais de ce que j’ai pu voir de mon entourage. Pour ma part c’est pas l’amour qui est en fuite mais l’envie d’aimer qui l’est

Comment vis tu ce confinement ? Des projets d’écriture ?
Plutôt bien bizarrement. Je m’amuse à faire des recettes, je me suis mise au sport, je fais du ménage un peu comme tout le monde d’ailleurs. Tu reviens aux choses essentielles c’est cool, loin du superficiel! J’ai toujours eu l’habitude d’écrire avec Ikbal, donc je t’avoue sans mon acolyte d’écriture c’est pas pareil.

Quels messages souhaites-tu faire passer à travers tes sons?
Ça dépendra du thème que j’aborderais. Mais je dirais du soutien. Quand tu écoutes un son et que tu te reconnais dedans tu te dis ah ouais je suis pas la  ou le seul(e). Pour moi la musique c’est un réconfort, un soutien.

Yezza bientôt sur scène ?
J’ai qu’un mot à dire à ça : INCHALLAH !