Après plus de 300 représentations de « Dans les forêts de Sibérie », nouvelle Aventure « Tessonesque ». Cela se passe en 2187, sur la planète Mars. Où en sera l’humanité à ce moment de l’histoire. Tesson interroge notre rapport à la solitude, à l’intouché, à la beauté, à la volonté d’étendre le règne humain ailleurs que sur la terre, au risque d’abîmer ce qu’il y a de plus beau, de plus rare. Pourrons-nous continuer à rêver un monde meilleur pour les générations futures ?
La planète Mars sera t-elle habitée un jour ? Sylvain Tesson sonde avec clairvoyance nos pensées et dévide nos interrogations quant au futur du 22ème siècle. Son œuvre, Mars, est un commentaire poétique pour penser les maux causés par nos actions insensées d’êtres humains.
Un intense William Mesguich nous fait découvrir cette ode littéraire, théâtrale et volcanique autour de la préservation de la planète qui nous interroge dans le profond. Mars, cette inconnue que nous finirons peut-être par apprivoiser ou qui restera comme un fantasme, un horizon inaccessible Le 2 février, à St Amour, dans le Jura, aura lieu la première. MARS se jouera ensuite :
Dates :
Le 12 avril à St Jean de Braye
Le 19 avril à Nice, au théâtre de la Cité
Au festival d’Avignon, FACTORY/salle Tomasi, dans le lieu dirigé par Laurent Rochut
Merci à la formidable équipe de William Mesguich:
Adaptation Charlotte Escamez, Lumières William Mesguich, Scénographie Jessica Astier Paintings, Création Vidéo Mehdi Izza, Régie vidéo Boris Carré, Son et création musicale Tim Vine, Costume Alice Touvet, Construction décor Grégoire Lemoine, Régie générale Patrice Hennequin, Diffusion Artistic sceniq Pierrick Quenouille, Administration Elisabeth Muller
Production théâtre de l’Etreinte.
Un merci tout particulier également à Dany Barthélemy et Daniele Ronchaud
MARS
Au Théâtre du Balcon
38 rue Guillaume Puy – Avignon (84000)
Texte Sylvain Tesson
Mise en scène William Mesguich
Avec William Mesguich
La police de la pensée gangrène l’intelligence, celle-ci peine déjà à s’exprimer à cause de l’extrême BÊTISE. Le printemps des poètes n’appartient pas à la gauche BOBO qui navigue sans scrupule entre démagogie et imposture …