Son visage, son sourire et son glamour ne vous sont pas inconnus. “Médiatrice” météorologique, Fabienne Amiach a fait la pluie et le beau temps pendant plus de trente ans sur le service public. Mais, derrière la journaliste, chroniqueuse de télévision et de radio, se dévoile une femme engagée dans la vie humanitaire. Citoyenne philanthrope, elle déploie sa notoriété et son enthousiasme au service des autres. Quand elle n’aide pas à apporter de l’eau, à construire des écoles dans des villages au nord du Niger pour contribuer à l’éducation d’enfants dans le désert, Fabienne s’active en faveur des personnes âgées dans le cadre du plan Fraternité lancé pour pallier la canicule ou pour les enfants en situation de handicap avec l’association « Soleil d’enfance » dont elle est la présidente. Il était donc évident que son soutien dans des actions où l’homme est au cœur du débat soit honoré de « la médaille du mérite et dévouement Français »
LA FEMME PLURIELLE
Bien que native du village Montmartois, Fabienne a passé son enfance dans le sud de la France, « sous le soleil et la douceur des heures qui s’étiraient heureuses et musicales avec les fragrances de figues, de lavande et de thym qui s’élevaient du jardin familial, dans la colline du mont Paradis à Carqueiranne. » Le chant des cigales, le frissonnement des feuilles par le mistral ont rythmé ses journées, tout comme le son des cordes de la guitare de son père. « La vie est à multiple facettes. Celui ou celle qui ne considère pas les opportunités qu’elle offre, passe à côté de ses rêves ». C’est pourquoi, après trente ans de télévision et ses enfants devenus grands, la sportive qui pratique la gymnastique, la marche et le yoga, décide de revenir à ses premiers amours. Ses passions lui manquaient bien qu’elle ait chanté pour des associations caritatives ou fait du théâtre en amateur en parallèle de ses activités de présentatrice. Il n’était plus question de laisser son imagination de côté, ni même son talent d’écriture et d’interprétation. Fabienne décide de se lancer et sort son premier roman à l’humour moqueur. Très actuel de par sa thématique , « Le potager des grosses légumes » (éditions Fortuna) pointe, par l’entremise de métaphores, les conditions de vie et de travail des agriculteurs tout en dressant avec habileté, le portrait d’un paysage politique plongé dans le brouillard. L’expérience est très concluante. Poser les mots la conforte dans ses nouvelles orientations. Maintenant, il lui faut les faire résonner par le rythme et les notes. La musique est « une île où elle s’abandonne ». C’est aussi « un langage universel pour transmettre des messages, des émotions et toucher le cœur des gens. » Fabienne va s’en servir pour parler des sujets qui lui tiennent à cœur
L’ARTISTE
C’est donc avec la musique que Fabienne s’offre aujourd’hui, un nouvel épanouissement. Ce n’est aucunement une lubie ou la réponse à une frustration, mais belle et bien le besoin de réaliser une passion qui la porte depuis toujours. Certains penserons que c’est un choix risqué. Mais qui ne tente n’a rien. C’est son cheminement, un appel comme une urgence viscérale pour ne pas avoir de regrets. La vie est faite de rencontres. Celle de Fabienne en est riche. Sur son chemin, outre d’approcher des personnalités diverses, elle a pris le temps de se poser et de collaborer avec Jean-Paul Cara qui lui a écrit « Le monde a besoin d’amour » dans les années 90; une chanson qu’elle a remise en forme et en voix cette année. Elle a également travaillé avec le pianiste et compositeur Pierre Sébaoun en tant que parolière d’hymnes pour l’Unesco. Plus récemment, sa route a croisé celle de Michel Cywie, compositeur pour de nombreuses stars de la chanson française (Dave, François Valéry, Patrick Topaloff, Richard Antony, Gérard Lenorman, Nicole Croisille, Marie Laforêt)… Il a accepté de mettre son talent au service du projet musical de Fabienne et de le conjuguer avec celui de l’arrangeur et musicien Gabriel Marini. Le travail de ce trio complémentaire a donné naissance à des titres engagés, écrits à partir d’émotions relatant des vérités empruntes d’amour. N’y cherchez pas de ressemblances, mais que des références
”J’AIMERAIS”
« J’aimerais » n’est que le miroir de la femme qu’est fabienne Amiach. Il montre une âme sensible et généreuse qui se projette dans un monde meilleur, plus solidaire et plus juste, où la place de la femme puisse être respectée comme elle doit l’être. Titre également du premier extrait, « J’aimerai » est une chanson d’espoir dont la portée forte en sentiments se veut rythmée et joyeuse. Et c’est là tout l’ADN de cet EP avec pour colonne vertébrale, l’émotion. Les 4 titres qui le composent émanent de la réflexion sur le sens donné à la vie, de ce que l’on est prêt à quitter pour arriver à ses rêves. Les combats méritent d’être menés sans confrontation directe. Qu’il soit musique ou peinture, l’art doit être le vecteur d’expression du respect des individus. Fabienne l’exprime avec bienveillance dans « J’ose te dire », un titre dans lequel elle aborde les répressions faites aux femmes en s’appuyant sur les conditions de vie des Iraniennes et des Afghanes. Dans « Nos différences », elle parle de l’enfance handicapée, des différences et du regard des autres porté sur les apparences. Avec « Saisons niées », elle pointe l’évidence d’une terre en souffrance que l’humanité ne peut continuer à nier. La nature reprend ses droits. À nous d’agir pour la préserver..
EP « J’AIMERAIS »
Auteur et interprète : FabienneAMIACH
Compositeurs : Michel CYWIE pour « J’aimerai », « J’ose dire » et « Nos différences »
et Gabriel MARINI pour « Saisons niées »
Arrangements : Gabriel MARINI
Attachées de presse : Cécile LALIGAN: 06 12 32 64 19 – cecilelaligan@free.fr
et Dominique LHOTTE:
06 60 96 84 82 – bardelangle@yahoo.fr